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Le remplissage du bassin
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Sel d'Epsom
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Bassin duo
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photo Vincent DANNEAUX
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Tisane des Herbes Folles
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Vincent DANNEAUX

Le rendez-vous est pris, le jour J arrive et bien­­­­­­­­­tôt Vincent m’ac­­­­­­­­­cueille chaleu­­­­­­­­­reu­­­­­­­­­se­­­­­­­­­ment dans les locaux de Sel & Ô. Je suis fati­­­­­­­­­guée et un peu cour­­­­­­­­­ba­­­­­­­­­tu­­­­­­­­­rée, très proba­­­­­­­­­ble­­­­­­­­­ment en carence de magné­­­­­­­­­sium (à l’ins­­­­­­­­­tar de 75% de la popu­­­­­­­­­la­­­­­­­­­tion mondiale – selon l’OMS)… mais je suis impa­­­­­­­­­tiente de vivre cette expé­­­­­­­­­rience. Vincent m’ex­­­­­­­­­plique les quelques consignes à suivre, il lance le programme et quitte la pièce.


C’est parti !

Le temps de prendre une douche, le bassin s’est auto­­­­­­­­­ma­­­­­­­­­tique­­­­­­­­­ment rempli d’eau, envi­­­­­­­­­ron 40cm de hauteur. J’en­­­­­­­­­file les bouchons d’oreilles et attrape le cale-tête, je retire mes lunettes et j’entre dans le bassin en tirant sur le capot pour le refer­­­­­­­­­mer sur moi (système propre au bassin solo unique­­­­­­­­­ment). Je tends les jambes, les bras et miracle ! Aussi­­­­­­­­­tôt je flotte. Le système de diffu­­­­­­­­­sion audio intra bassin m’in­­­­­­­­­dique que la séance d’une heure a débuté. Durant les premières minutes du programme, je distingue des sons de baleines, je me laisse bercer en appré­­­­­­­­­ciant le jeu des couleurs chan­­­­­­­­­geantes diffu­­­­­­­­­sées par les lumières du bassin…

Plus tard, les lumières se sont éteintes, les baleines se sont tues, je flotte. J’ai retiré le cale-tête en prenant soin de ne pas m’as­­­­­­­­­per­­­­­­­­­ger d’eau salée dans les yeux (pas de panique si cela vous arrive, un spray d’eau douce est acces­­­­­­­­­sible à tout moment pour se rincer les yeux). Ma tête s’en­­­­­­­­­fonce un peu dans l’eau, qui remonte juste à la lisière de mes yeux, je flotte. J’ai préféré reti­­­­­­­­­rer mes bouchons d’oreille. Je suis plon­­­­­­­­­gée dans le noir, le silence m’en­­­­­­­­­ve­­­­­­­­­loppe, je ne sais plus dans quel sens je me trouve, le temps s’ar­­­­­­­­­rête et moi, je flotte.


Plutôt para­­­­­­­­­doxal, non ?

C’est pour­­­­­­­­­tant bien la promesse que remplit la flot­­­­­­­­­tai­­­­­­­­­son en isola­­­­­­­­­tion senso­­­­­­­­­rielle !  Imagi­­­­­­­­­nez-vous flot­­­­­­­­­ter, sans efforts, à la surface d’une eau chaude satu­­­­­­­­­rée en sel d’Ep­­­­­­­­­som. Vous ne ressen­­­­­­­­­tez plus la gravité. Le poids du corps s’ef­­­­­­­­­face complè­­­­­­­­­te­­­­­­­­­ment car c’est l’eau qui vous porte et bien­­­­­­­­­tôt vos muscles se relâchent, les tensions se libèrent, une sensa­­­­­­­­­tion de confort s’ins­­­­­­­­­talle progres­­­­­­­­­si­­­­­­­­­ve­­­­­­­­­ment.

Flot­­­­­­­­­ter est agréable. C’est presque une sensa­­­­­­­­­tion natu­­­­­­­­­relle. Est-ce notre incons­­­­­­­­­cient, notre instinct qui, en retrou­­­­­­­­­vant les sensa­­­­­­­­­tions éprou­­­­­­­­­vées lorsque nous étions dans le ventre de notre mère, procure cet état de bien-être ? Et puisqu’il n’y a plus rien à faire sinon que de flot­­­­­­­­­ter, alors je lâche prise. Je viens de m’en­­­­­­­­­dor­­­­­­­­­mir, et je suis loin, très loin, quand progres­­­­­­­­­si­­­­­­­­­ve­­­­­­­­­ment les baleines reviennent. Les lumières me ramènent douce­­­­­­­­­ment, esprit et corps se retrouvent dans une quié­­­­­­­­­tude abso­­­­­­­­­lue. La séance s’achève, la sensa­­­­­­­­­tion de bien-être conti­­­­­­­­­nue…

Le bassin se vide et l’eau entame son proces­­­­­­­­­sus de double filtra­­­­­­­­­tion. Une nouvelle douche pour élimi­­­­­­­­­ner les rési­­­­­­­­­dus de sel sur la peau et les cheveux, et tout en repre­­­­­­­­­nant mes esprits je rejoins Vincent à l’ac­­­­­­­­­cueil. Je prolonge l’ex­­­­­­­­­pé­­­­­­­­­rience en dégus­­­­­­­­­tant main­­­­­­­­­te­­­­­­­­­nant une déli­­­­­­­­­cieuse tisane des Herbes Folles.

Outre les sensa­­­­­­­­­tions que procure la séance de flot­­­­­­­­­tai­­­­­­­­­son, durant cette heure qui n’ap­­­­­­­­­par­­­­­­­­­tient qu’à vous, vous en ressen­­­­­­­­­ti­­­­­­­­­rez les effets durant plusieurs jours (qualité de sommeil amélio­­­­­­­­­rée, éner­­­­­­­­­gie retrou­­­­­­­­­vée…). Il est égale­­­­­­­­­ment possible de vivre et parta­­­­­­­­­ger cette expé­­­­­­­­­rience à deux grâce au bassin « duo ».

Bon à savoir : le bassin « duo » est égale­­­­­­­­­ment acces­­­­­­­­­sible aux personnes à mobi­­­­­­­­­lité réduite.




Flot­­­­­­­­­tai­­­­­­­­­son en isola­­­­­­­­­tion senso­­­­­­­­­rielle, Késako?

Etats-Unis. Début des années 50.

De nombreux scien­­­­­­­­­ti­­­­­­­­­fiques étudient le cerveau humain et tentent d’en comprendre le fonc­­­­­­­­­tion­­­­­­­­­ne­­­­­­­­­ment. Ce que l’on voit, ce que l’on touche, ce que l’on goûte, ce que l’on entend… une multi­­­­­­­­­tude d’in­­­­­­­­­for­­­­­­­­­ma­­­­­­­­­tions nous parviennent par les sens, et notre cerveau traite en perma­­­­­­­­­nence toutes ces données qui proviennent de notre envi­­­­­­­­­ron­­­­­­­­­ne­­­­­­­­­ment. 

Deux théo­­­­­­­­­ries s’op­­­­­­­­­posent alors : Si nous parve­­­­­­­­­nons à « élimi­­­­­­­­­ner » momen­­­­­­­­­ta­­­­­­­­­né­­­­­­­­­ment nos sensa­­­­­­­­­tions corpo­­­­­­­­­relles, serions-nous plon­­­­­­­­­gés dans un état végé­­­­­­­­­ta­­­­­­­­­tif de type coma ou bien, une fois libéré de tous stimuli exté­­­­­­­­­rieurs, notre cerveau demeu­­­­­­­­­re­­­­­­­­­rait en capa­­­­­­­­­cité de géné­­­­­­­­­rer des expé­­­­­­­­­riences ? John C. Lilly (méde­­­­­­­­­cin et neuro­p­­­­­­­­sy­­­­­­­­­chiatre) met au point le premier cais­­­­­­­­­son d’iso­­­­­­­­­la­­­­­­­­­tion senso­­­­­­­­­rielle.

Etats-Unis. Années 70.

Les premiers cais­­­­­­­­­sons expé­­­­­­­­­ri­­­­­­­­­men­­­­­­­­­taux cèdent la place à un nouveau proto­­­­­­­­­type qui permet d’ob­­­­­­­­­te­­­­­­­­­nir des résul­­­­­­­­­tats plus que concluants. Celui-ci est rempli d’une eau enri­­­­­­­­­chie en sel de magné­­­­­­­­­sium à tempé­­­­­­­­­ra­­­­­­­­­ture du corps, qui permet à ce dernier de flot­­­­­­­­­ter natu­­­­­­­­­rel­­­­­­­­­le­­­­­­­­­ment. Et la magie commence ici…




L’in­­­­­­­­­gré­­­­­­­­­dient bien-être par excel­­­­­­­­­lence : le sel d’Ep­­­­­­­­­som

La très forte concen­­­­­­­­­tra­­­­­­­­­tion de l’eau en sel d’Ep­­­­­­­­­som, apporte son lot de bien­­­­­­­­­faits. Utilisé depuis l’An­­­­­­­­­tiquité, le sel d’Ep­­­­­­­­­som est natu­­­­­­­­­rel­­­­­­­­­le­­­­­­­­­ment riche en sulfate de magné­­­­­­­­­sium et possède de nombreuses proprié­­­­­­­­­tés vertueuses. Agis­­­­­­­­­sant comme un puis­­­­­­­­­sant stimu­­­­­­­­­lant pour le système immu­­­­­­­­­ni­­­­­­­­­taire, il est recom­­­­­­­­­mandé pour la détente muscu­­­­­­­­­laire et nerveuse, soulage le stress et les maux de tête, il aide à l’en­­­­­­­­­dor­­­­­­­­­mis­­­­­­­­­se­­­­­­­­­ment et permet un regain d’éner­­­­­­­­­gie.


5 fois plus concen­­­­­­­­­tré que la Mer Morte, le sel d’Ep­­­­­­­­­som va augmen­­­­­­­­­ter la densité de l’eau et permettre la flot­­­­­­­­­ta­­­­­­­­­bi­­­­­­­­­lité. Saviez-vous que votre tête pèse en moyenne, entre 5 et 8kg ? C’est approxi­­­­­­­­­ma­­­­­­­­­ti­­­­­­­­­ve­­­­­­­­­ment le poids d’une grosse boule de bowling. Et pour­­­­­­­­­tant, le sel d’Ep­­­­­­­­­som va main­­­­­­­­­te­­­­­­­­­nir votre tête à la surface de l’eau !




SEL & Ô
11 rue du Géné­­­­­­­­­ral Husak, 08400 TERRON-SUR-AISNE
www.flot­­­­tai­­­­son-ardennes.fr
Tél : 07 63 13 07 61
Ouvert toute l’an­­­­­­­­­née. Sur RDV unique­­­­­­­­­ment.

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